Fragment d’une photo stéréo sur plaque de verre.
Photo albuminé du Petit Bé (Bey)
Carte postale, le Fort du Petit Bé vu depuis le Grand Bé. On y retrouve
les mêmes rochers (disparus depuis la guerre) que sur la précédente photo.
En 2014.
En 2016 et 2017 (photos E. B-C).
La rue du Boyer depuis la rue du Bey (fragment d’une photo stéréoscopique).
Vue de la rue du Boyer vers 1898 (photo coll. perso.)
A noter que la rue à droite
n’est autre que la rue Gouin de Beauchêne.
(voir plus bas).
Photo d’avant-guerre, on peut apercevoir
au bout de la rue la Place du Pilori
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« L’Hôtel de la mer » rue du Boyer
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La rue du Boyer en ruines après les bombardements d’août 44.
prise vers la porte des Bés semble-t’il. 
A noter que la Rue du Boyer qui allait avant guerre jusqu’à la Place du Pilori,
sera limitée lors de la reconstruction à la Place aux Herbes.
En août 2022 (phot. E.B-C)
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La rue du Boyer dans l’autre sens, vue depuis la Place aux Herbes.
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PORTE ET RUE DES BÉS (BEYS)
Vu sur le Corps de Garde, la Porte des Bés et la maison à l’angle
de la rue des Bés et de la rue St-Anne.
Fragment d’une photo stéréo d’août 1904 de Jean Binot (1867-1909)
Archives du Musée du Quai Branly (Paris).
Photo de famille, de l’Entreprise de plomberie, zinguerie, tôlerie, Fumisterie
de François Lemée (le fils) à droite.
Sise au 4 rue du Boyer et au 1 de la rue St-Anne.
Ici devant la porte des Bés.
En-tête d’une facture de 1908 de l’entreprise des François Lemée, Père et Fils.
La Porte des Bés (Beys) ouverte en 1884. A noter que l’accès se faisait
alors sur le devant de la Tour Notre-Dame, les portes en bois
étaient alors placées à cet endroit et l’escalier inférieur n’existait pas encore.
La Porte des Bés dans les années trente, d’après une vue stéréo sur
plaque de verre.
La Porte des Bés dans les années soixante-dix, après modification
de l’accès. La porte en bois cloutée est placée côté intérieur.
La Porte des Bés en 2019
La Porte des Bés barricadée pour interdire l’accès à la plage.
par ordre de la Préfecture et du Maire Claude Renoult en mars et avril 2020
pour cause de Covid-19 (sic!).
En août 2022 (phot. E.B-C)
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Restaurant « Le Père Gaston » rue du Boyer, années soixante-dix.
En arrière plan la Rue des Bés
La rue du Boyer en 2019.
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Maison à l’angle de la rue des Bés, et de la rue St-Anne.
A noter que le renflement de la façade au numéro 1 de la rue des Bés
cache un escalier à vis en granite qui serait l’escalier
du clocher de la Chapelle Notre-Dame
de la Gde Puissance (dite aussi Notre Dame de Bon-Secours)
partiellement détruite en 1792 pour élargir la rue.
En août 2022.
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La rue des Bés, prise dans l’autre sens, le dos à la Porte des Bés.
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L’escalier à vis qui aurait appartenu à l’ancienne Chapelle, (photo en 2022, E.B-C)
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Maisons rescapées de la guerre, au 5 de la rue du Boyer, en 2019.
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LA RUE GOUIN DE BEAUCHESNE (BEAUCHÊNE)
Maison caractéristique de la rue du Boyer (au fond)
vue depuis la vieille rue Gouin de Beauchesne
Vue de la rue Gouin de Beauchêne vers 1898 (photo coll. perso.)
Le clocher de la Cathédrale vu de la rue Gouin de Beauchêne après les bombardements.
A noter qu’avec la reconstruction, la rue du Boyer n’arrive plus
jusqu’à la place du Pilori et que la rue Gouin de Beauchêne
a changée d’emplacement, mais ces maisons à gauche de la photo, situées maintenant dans une cour d’immeuble sont les survivantes de cette rue Beauchêne . 
l’Actuelle rue Beauchêne (Photo prise en 2018).
La rue du Pélicot
Dans les années soixante-dix
En 2009.
En 2018.
Vieilles maisons de la rue Mer Bonne 
Rue Trublet
Portion de la rue Trublet en 2018.
La rue André Désilles (du Collège) qui a totalement changée
d’endroit après la reconstruction
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La rue Danycan
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La rue des Grands Degrés 
La rue des Grands Degrés en 2018.
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Le haut de la rue des Petits Degrés
Le bas de la rue des Petits Degrés (fragment d’une photo stéréo). 
En 2018
Entrée de la rue des Petits Degrés depuis la rue des Cordiers
Avant-guerre ( plaque de verre, Musée de Bretagne à Rennes)
Au même endroit en janvier 2023 (photo E.B-C)
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L’Hôtel restaurant de Bretagne,
au 7 rue Migeaux (actuelle rue de la Herse).
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Fragment d’une photo stéréo des années 20
de l’ancienne rue Migeaux (aujourd’hui rue de la Herse (coll. perso.).
En avril 2020 (photo E.B-C)
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La rue de la Halle aux blés (en 2018).
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Rue de l’Orme
Carte photo du personnel de la crémerie R. Rondouin
au 8 rue de l’Orme (Ancêtre de la crémerie Bordier).
La rue de l’Orme en ruines, août 1944.
En 2019
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La rue Saint François
La rue St François en 2018.
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La rue des Vieux Remparts 
Dans les années soixante.
en 2018 (photo E. B-C).
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La rue des Vieux Remparts vue depuis la rue de Dinan.
En 2018.
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L’Hôtel Restaurant Parisien « Charpentier Malicet ».
Carte de l’Hôtel Charpentier-Malicet, qui montre le changement de façade.
Dans les années soixante, où il est encore l’Hôtel Parisien.
Il sera ensuite remplacé par le bar « La Belle Époque » photographié ici en 2019.
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Boutique d’un marchand de volailles, la Maison « Février » 7 rue de la rue du Puits Aubray
A noter que le nom de la rue s’écrivait alors : rue du Puits Aubray.
Ruines de la rue du Puits aux Braies (à gauche de la photo) avec des échafaudages sur les immeubles ayant survécus aux bombardements.
Rue du Puits aux Braies (Aubray).
En 2018.
Cartes postales de la Place du Grand Placitre au début des années 1900,
façade à l’Est (à gauche) et au Sud) (à droite). 
Dans l’angle la petite rue St-Jean (disparue).
Sur cette photo du Musée d’histoire de Saint-Malo, on reconnaît les immeubles
( façade à l’Est ) des cartes précédentes, seule la maison à droite à gagné un étage.
Gravure de la Place du Grand Placitre, façade au Nord (à gauche) et à l’Est (à droite).
Tirée du livre de Daniel Derveaux » Saint-Malo de Bretagne » (1943, réédition 1966).
Photo du Grand Placitre après les bombardements d’août 1944.
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Gravure montrant la place du Petit Placitre.
Image tirée du livre de Daniel Derveaux « Saint-Malo de Bretagne » (1943 réédition 1966). Point de vue depuis la rue Vincent de Gournay, (ex rue de la Crevaille). Il s’agit des façades à l’Est et au Nord, aucune de ces constructions n’a résisté aux bombardements.
Seules les façades au Sud et à l’Ouest ont peu changé.
Approximativement le même angle en décembre 2019.
Dans le sens inverse, les maisons façades au Sud.
Même si on peut y trouver une certaine ressemblance avec le Grand Placitre d’avant-guerre, ce n’est qu’une illusion car celui-ci a été détruit pendant la guerre et son emplacement a été absorbé par la construction après-guerre du Groupe scolaire (voir article 44) et c’est le Petit Placitre d’avant-guerre qui en s’agrandissant lors de la reconstruction est devenu le Placitre actuel.
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Carte postale représentant le Studio Moderne de « Photo Malouine »
au 12 rue de La Fosse.
Un peu plus loin on aperçoit l’enseigne du Restaurant J. Hamel.
Devanture du restaurant et chambres meublées de J. Hamel,
qu’on peut voir ici sur son pas-de-porte, à la même adresse que la Photo Malouine.
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« La Malouine photo », Photographe. Devanture très animée, souvenir de la braderie de 1932, toujours au 12 rue de la Fosse. (Coll. perso.).
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Au numéro 13 de la rue de la Fosse (à droite en descendant),
la devanture animée de l’entreprise de travaux de François Mounier,
que l’on voit ici poser avec ses ouvriers.
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L’Hôtel « Aux Ajoncs d’Or » rue de la Fosse, avant guerre.
Après la reconstruction
En 2019.
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Rue St-Barbe, l’Hôtel Restaurant « Régina » avant guerre.
ce qu’il en reste aujourd’hui en 2019.
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L’Hôtel du Commerce rue Jean de Chatillon et son personnel.
D’après une diapositive des années soixante.
Le même angle, mais il s’appelle maintenant « l’Hôtel Anne de Bretagne »
photos prises en décembre 2019.
A noter que la Vierge n’est plus celle d’origine.
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L’Annexe de l’Hôtel de la Plage au 2 de la rue St-Thomas.
Un magasin d’antiquités « Maison Guyomard » dans la rue St-Thomas.
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La Pension de Famille « Sainte-Anne » sise au 4 rue St-Anne (photo Coll. perso.).
En 1910, la propriétaire de cette Pension était Mme Aubrée.
Mme Lemée qui lui succèdera, la rebaptisera « Pension St-Thérèse ».
Photos particulières prises depuis les balcons de la Pension St-Anne,
vue sur le Petit Bé. Peut-être la même personne sur le balcon, sur ces deux photos,
la patronne où plus probablement une touriste ? (Coll. perso.).
Et vue sur la guérite (murée) du Garde-Corps (voir l’article 70 pour d’autres photos sur l’histoire de la guérite ), Coll. perso. 
A noter la « Vue splendide sur la Mer » qui n’est pas usurpée.
Carte de la Pension de Famille « St-Thérèse » dans les années vingt.
Famille de Madame Lemée aux balcons de la Pension en 1946
(Photo, collection particulière)
En 2017, (photo E. B-C)
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L’Hôtel Marguerite 8, rue St-Benoît
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L’Hôtel de l’Union, (pas de localisation).
Le Grand Hôtel Franklin, premier hôtel construit en-dehors des murs, a été ouvert le 1er juin 1892 sur le Sillon à l’arrière du Casino. A noter qu’avant cette date un Hôtel Franklin existait intra-muros dans la petite rue Franklin qui donnait sur le Marché aux poissons,
(photo anonyme, Coll. perso.).
Façade sur le bassin Duguay-Trouin.
Emballage des pommes de terre sur le quai Duguay-Trouin en 1907.
En-tête d’une facture du Grand Hôtel Franklin en 1918 (coll. perso.).
Le bâtiment qui n’a plus le statut d’hôtel, photographié en 2018.
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La façade sur le Sillon.
En 2018.
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Le nouveau Casino et l’Hôtel Franklin.
L’Hôtel Franklin, vue aérienne dans les années soixante. On peut remarquer que l’espace entre le Casino et l’Hôtel n’a pas encore été comblé.
L’arrêt du tramway devant l’Hôtel Jacques Cartier, en regardant vers Paramé.
L’Hôtel Jacques Cartier sur le Sillon, en regardant vers St Malo.
Façade depuis la plage
CP photo du personnel de l’Hôtel Jacques Cartier au début des années 1900.
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Façade depuis la mer. En fait l’éditeur n’a pas hésité à faire un photomontage de la mer à marée haute découpée sur les brise-lames. 
En 2017 à marée basse et en soirée (photo E. B-C)
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L’Hostellerie de la Grotte aux Fées, sur le Sillon avant-guerre.
Vu aérienne dans les années cinquante.
Dans les années cinquante, soixante.
Photographié en 2019 (L’Hostellerie de la Grotte aux Fées, devenu l’Hôtel Mercure).
Le boulevard du Talard, quartier de la Gare
L’arrêt du Tramway sur le boulevard du Talard devant la gare
En 2019.
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Le boulevard du Talard et ses hôtels devant la gare
Animation devant les grilles de la gare
Le Boulevard des Talards dans les années cinquante.
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Les jardins devant la gare.
L’Hôtel de L’Arrivée
Dans les années soixante
L’Hôtel de l’Arrivée en 1974.
En 2019.
La première gare avec une grande verrière, inaugurée en 1864.
On reste étonné de la grandeur de cette première gare.
Côté cour arrivée avec diligences et cabriolets.
Accident semblable à celui de la gare Montparnasse à Paris, un train en provenance du Mont St-Michel, ne s’arrêtant pas aux taquets et traversant la gare et même les murs de celle-ci, un 9 septembre 1923. Accident spectaculaire,
mais qui ne fera que quelques blessés.
Années vingt, trente, les automobiles ont pris le relais de la traction chevaline.
Ruines de la première gare après les bombardements de juillet 1942.
(Photos Archives Municipales de St-Malo)
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La nouvelle gare vu d’avion, après sa reconstructions en 1951. Toujours en forme de U, mais plus de verrière. Perspective sur le boulevard du Talard.
Jardin devant devant la gare et arrêt de bus dans les années cinquante.
Image idyllique où tout semble propre, simple, et facile.
Même vue en 2017, la gare a laissé son emplacement à la médiathèque de la Ville.
Mais auparavant, retour à la gare reconstruite en 1951,
ici dans les années soixante, tirée d’une diapositive.
Dans les années quatre-vingt.
Au début des années 2000.
avant sa démolition, à partir de 2009 (photos empruntées à la presse de l’époque).
La nouvelle gare TGV en 2005 à 260 mètres en amont de l’ancienne.