Vue d’avion à la fin des années 30, à noter le coin en bas à droite,
de l’aile entoilée de l’avion (Photo Coll. perso.).

Début de la reconstruction de la ville d’après une photo de « Ouest France » en 1949.
A noter l’avancement des travaux sur le collège, la rue Broussais
encore bien vide ainsi que Placitre.
Les reconstructions de la Ville dans les années cinquante et soixante. La plage de Bon Secours. A noter que le grand immeuble sur Placitre n’est pas encore construit.

Dans les années soixante au moment de la reconstruction de la jetée. Photo d’Adelin Piau prise en juillet 2014.

Gravure du Fort de la Conchée par Maurice de Riquet en 1756
(sources Gallica, BNF).Plans des souterrains et de la terrasse du Fort, par Charles Mazin en 1754 (Gallica, BNF). Dessin des souterrains (Collections Musée de Bretagne).Photo du Fort en hautes marées, vers 1912.
Les images et photos suivantes sont empruntées au site de la « Compagnie du Fort de la Conchée » qui restaure le Fort depuis 1989 (voir la liste des liens).
Aquarelle représentant le Fort de la Conchée tel qu’on pouvait le voir avant les destructions de la guerre.Etat du Fort en ruines entre 1944 et 1988 (sa vente). La plateforme n’est qu’un amas de pierres (photos de 1989). En 1992, début de la reconstruction des bâtiments. Aspect qu’il présente en 2008. En 2013, vue sur sa façade Ouest, la mieux conservée (photos E.B-C). En 2013 sur sa façade Est encore fortement dégradée. En 2017, le gros des travaux consistant à restaurer la façade Sud, dont l’accès au Fort terriblement endommagé, sans parler de l’avancée qui a complètement disparue. De 2014 à 2017, photos avec l’autorisation de la « Compagnie du Fort de la Conchée ».
(Voir leur excellent site www.fortdelaconchee.org )En 2015 le Fort retrouve sa porte d’accès.En 2017, la façade initiale avec l’échauguette et le trophée
aux armes de Louis XIV sont en place. En 2018, photo (E.B-C) prise depuis la Petit Bé. Lors de la journée portes ouvertes du 7 août 2022 (photos E. B-C)
Les bâtiments sur la plate-forme.Les souterrains avec leurs belles voûtes.Le portait de la porte d’entrée surmontée du trophée et de l’échauguette.On peut mesurer avec ces dernières vues le travail fantastique accompli jusque là !

Gravure montrant le bassin Vauban en 1865, signé de A. Maugendre, (coll.perso.).

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St-Malo vu depuis  St-Servan et le bassin Bouvet.
Photo albuminée de Gilbert Ainé, vers 1870-80, (Coll. perso.).
Navire à marée basse.

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Avant la construction de l’écluse de la Bourse, le bassin Vauban subissait la marée.
A marée basse, les bateaux étaient contraint de poser leur quille sur le fond du bassin, contrairement au bassin Duguay-Trouin qui restait à flot. Arrivée d’un terre-neuvier à marée haute,
à noter les hommes d’équipage dans le haut de la mâture, (Coll. perso.).
Nom du bateau : Bernadette, Bayonne. Photo albuminée, vue sur la Bourse et la pont-roulant.
Au premier plan une barque du passeur. (photo Coll. perso.). A gauche le quai du pont roulant et le bâtiment de la Bourse du commerce.Photo albuminée « Ordinaire de Dinard ». (Coll. perso.).Terre-neuvas rentrant au bassin de St-Servan. Sortie d’un navire de guerre.Carte postale, vue sur le bassin avec des petits chalutiers.
A noter les échafaudages sur la flèche de la Cathédrale,
donc début des années soixante-dix.Visite d’un galion espagnol en août  2018 (photos E. B-C). et du « Sea Cloud » également en 2018. Diverses vues du bassin en 2018. Sécherie de Morues au début de 1900. En 2018.Au moment de la période des fêtes de fin d’année,
lorsque les bateaux de pêche sont au repos. (photo E.B-C)

La Ville en ruines après les bombardements d’août 44, mais début de reconstruction d’un premier immeuble au-dessus de la plage du Môle. Le Collège est reconstruit, années cinquante. La plage Bon Secours et les nouveaux immeubles, années soixante.

En cours de reconstruction, à noter la charpente pas encore recouverte d’ardoises.

La chapelle St-Sauveur a retrouvé un toit. Au début des années 2000. Détail sur le bastion de la Hollande et le chemin d’accès à la plage du Môle dans les années cinquante. Vue plongeante au-dessus des remparts et de la plage Bon Secours. Vue sur la plage du Môle dans les années soixante. Vue contemporaine, mais avant la construction de l’Office de Tourisme.

Photo aérienne à la verticale d’Intra-muros en 1921, (Coll. perso.). Au moment des bombardements d’août 1944.

Après déblaiement des ruines, vers 1947. Contemporaine, mais avant 2014.

Vue sur la plage Bon Secours et la ville avant guerre.Photo prise depuis le Grand Bé.

Après guerre. Aujourd’hui en 2016 et 2018.Et une panoramique sur le Grand Bé.

La  Ste Ouine (du culte de St-Ouen), fête foraine traditionnelle qui se tient à St Malo de la mi-janvier à la mi-février. Initialement elle avait lieu avant le départ des bateaux pour Terre Neuve. Ici une photo ancienne avec un spectacle de lutteurs.Sur l’esplanade St-Vincent, à noter la forêts de mâts des Terre-Neuviers dans le bassin.La Ste-Ouine vers 1926-27 (à voir également dans l’article 20).
Photo tirée des archives Gallica BNF.

Photo des Collections du Musée de Bretagne, Rennes.

Photo de presse de l’Agence Rol, Coll. Archives Gallica BNF.En 1936, photo prise depuis les remparts au niveau de la Grande Porte, (Coll. perso.).La St-Ouine en 1939 (photo Rod-Rieder). Coll. perso.En janvier 2017 (photos E. B-C). En janvier 2019, vue depuis les remparts.

Plan du Fort National réalisé par Charles Mazin  (Gallica, BNF).La rampe d’accès au Fort National Le Pont Levis vers l’Est Le bastion En 2015 (photos E. B-C)

Remparts Est Remparts Ouest Le chemin de ronde

Ce que l’on voit des créneaux

Le bâtiment restauré après guerre

Plaque rappelant les victimes des bombardements alliés sur le Fort en août 44

Les souterrainsEn 2015

L’escalier de sortie Vue sur St Malo depuis la porte

Carte postale « Allégorie de la Course Malouine » par Dan Lailler.
Peintre et graphiste, conservateur du Musée et de la Bibliothèque de St-Malo (1950-1989).
Cartes postales des éditions « Emgé » vers 1954, (Coll. perso.).
Enseignes dessinées par Dan Lailler après-guerre pour différents magasins de la Ville.
Ici le magasin d’Antiquités rue de la Blatrerie (disparu), avec le Canonnier du Régiment
du Port de St-Malo, créé en 1772. La « Libraire des Corsaires », rue de Dinan (disparue),
avec un Corsaire du 17e siècle. Le « Café de la Bourse » rue de Dinan, avec un Corsaire de l’Empire.L’enseigne du Café de la Bourse avant qu’elle ne soit repeinte.
Photo Eric Lailler.Après avoir été repeinte, ici photographiée en 2019.De dos (photos E.B-C).Au « Bon voyage Mr du Mollet » place Chateaubriand (disparu), avec le célèbre personnage héros de la pièce de Desaugiers (1809), évoquant le dicton populaire : Vous venez de St-Malo ! Avez-vous encore vos mollets ? (Allusion au dogues gardant les grèves de la Cité).
Enseigne du Café des VoyageursL’enseigne semble être à l’intérieur du Café des Voyageurs
(photo empruntée à Eric Lailler).

« Basile » évoque un armateur du 18e siècle dans une taverne de la Cité.
Commerce rue de la Corne-de-Cerf fréquenté par les équipages.L’enseigne « Basile » dans les années cinquante.« La Malle des Indes » évoque les voyages malouins aux Indes.
Enseigne d’une maroquinerie rue Broussais.« La Malle des Indes » en piteux état en 2019, mais disparue depuis (photo E.B-C).

« Au Sans Pareil » rue de Dinan. Vice-Amiral sur le vaisseau pourtant ce nom
vers 1786.  Evoque un commerce de bijoux et de souvenirs (disparu). « Hôtel Robert Surcouf » rue de Dinan (disparu).
Hommage au célèbre corsaire malouin.L’Hôtel Surcouf (à gauche) avec son enseigne, dans les
années soixante-dix.Sur le même support l’enseigne « Surcouf » a été remplacée par celle
de la Crêperie « La Brigantine », photo  E.B-C de 2019.
« La Hutte » rue de Dinan (disparue). Figure de Jacques Cartier
qui lors de ses voyages chez les Indiens du Canada et Saguenay
découvrit « L’Herbe à fumer ». L’Agence  immobilière « Qui Qu’en Grogne » rue de l’Epine.
En référence à une des tours du château construite sur ordre
de la Duchesse Anne de Bretagne malgré les malouins qui grognent. L’enseigne de l’Hôtel du Louvre également dessinée par Dan Lailler (disparue).
Carte des années soixante-dix (avec les couleurs qui vont avec).

Carte avec diverses enseignes de la Cité.

« A L’Abordage » Bar-Restaurant, place de la Poissonnerie (disparue) La Taverne « Borne-fesse » rue du Puits aux Braies,
disparue en décembre 2019 (photo E.B-C en 2019).

L’Hôtel des « Ajoncs d’Or » en 2019 (photo E.B-C).L’Hôtel Restaurant « Porte Saint-Pierre » en 2019 (photo E.B-C).

« Le Potier » recto-verso rue Jacques Cartier en 2019, (photos E.B-C).
Enseigne de la Crêperie « Ti Nevez », rue Broussais, en 2019 (photos E.B-C).Autre Crêperie dont j’ignore le lieu (si elle n’a pas disparue),
photo empruntée.Enseigne de la Bibliothèque municipale intra-muros
(aujourd’hui disparue).

Les enseignes peintes par C. Duclos,
ici « l’Hôtel Cartier », place de la Croix du Fief (en 2019).

Le Restaurant « La Bisquine » rue Jacques Cartier.

La Crêperie rue de la Vieille Boucherie. Le Bar « La Bonne Etoile » rue de la Vieille Boucherie.La Crêperie « Gallo », 21 rue de Dinan. La « Crêperie du Môle » rue de Dinan. « Antiquités » rue de Dinan. Enseigne disparue, rue Jean Moulin (image empruntée).En 2019. Autre enseigne disparue, celle du Café de L’Univers,
semble-t-il signée C. Duclos (image empruntée).

« L’Hôtel de la Cité » rue Ste Barbe

Restaurant « La Morinière » rue J. Cartier (disparu)La « Crêperie La Licorne » place de Chateaubriand, en 2019. « Le Boujaron » rue de Dinan.

Trois enseignes peintes par Ph. Hardy de Dinan.
Ici le restaurant « A la Duchesse Anne », Place Guy La Chambre.

Un Terre-Neuvas pour la Crêperie rue Jacques Cartier. et l’Hôtel des « Ajoncs d’Or » rue des Forgeurs, en 2019.Autres signatures, ici « Taillandier »  pour cette enseigne
« Le Corsaire Malouin » (semble-t-il disparue ?).
Image empruntée, je ne connais pas le lieu.

Signature R. Louis pour « La Table Malouine » rue J. Cartier.
Signature MMAYEL 88 sur cette enseigne vitrail
pour le restaurant  « L’Ancrage » rue J. Cartier. Signature Rikè pour l’Hôtel rue Ste-Barbe Signature : Pasel, pour l’enseigne du « Chocolatier Galland »
au 4 rue Broussais.