La plage et le môle, carte panoramique.

La promenade sur les remparts au-dessus de la plage du Môle.Apparition de la Poterne d’Estrée, ( donc après 1933).Photo de particulier prise en aout 1955 à marée haute, (Coll. perso.).Vue sur la poterne d’Estrées, seul accès à la plage à marée haute (en 2017).___________

Effets de vagues sur les remparts.
A noter l’absence de la Poterne d’Estrée, qui ne sera percée qu’en 1933.

Carte postale, effets de vagues sur les remparts par grandes marées,
dans les années soixante dix, quatre-vingt. En 2018 (photo E. B-C).___________

Carte postale photo prise depuis les rochers de la plage. Les constructions à l’arrière : Hôtel-Dieu (à gauche) et les maisons (au centre) ont disparus dans les bombardements d’août 44, le collège religieux (à droite) dans les reconstructions d’après-guerre.Photo anonyme, (Coll. perso.), une baigneuse sur les rochers dans les années trente,
à noter la poterne d’Estrées bien présente comme le bâtiment de l’Hôtel-Dieu.
La plage du Môle de nos jours.Durant l’été  2017, présence du poste de secours. ___________

Le navire charbonnier « Le Triton » échoué sur la plage du Môle
en novembre 1928 après une tempête.

Fragment d’une photo stéréo, personnes jouant sur la plage le 25 juillet 1931.
A noter à gauche de la photo l’épave du Triton. (Coll. perso.).

Échouage volontaire cette fois en 2016 lors de grandes marées (photos E. B-C). ______

La plage du Môle et les murailles du bastion de la Hollande.
Il y avait alors au sommet du bastion une barrière grillagée. A noter le début du percement d’un premier créneau sur le bastion de la Hollande. Pas très authentique historiquement parlant mais beaucoup plus décoratif… En 2015.En 2016 avec du brouillard (photos E. B-C).Photos E. B-C, en 2019.___________

Le passage d’accès à la plage du Môle à la fin des années cinquante.En décembre 2019.

Photo prise début mai 1920, le sable à recouvert les rochers.

Vue sur les remparts de la Porte de Dinan et des Hôtels particuliers. Vue depuis la rue St Philippe.Ce qu’il en reste après les bombardements et incendies d’août 1944.

Détail sur les ruines à l’angle du Café de la  Bourse, rue de Dinan.

En 2019.__________

Retour sur les ruines vues depuis les remparts après 1944.
Photo tirée de « St Malo » 46 images de Pierre Lacoudre.
Éditions Pier-Lac 1947. Les mêmes en 2017 (photo E. B-C)

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En regardant en direction de Dinard (photo Ordinaire de Dinard, coll. perso.).

Hôtel particulier victime des flammes (août 1944). Vue sur les ruines Porte de Dinan, (Coll. perso.).D’après une photo de la collection de J-P. Blandel.Photo tirée de « St Malo » 46 images de Pierre Lacoudre.
Éditions Pier-Lac 1947. Ruines Porte de Dinan, (Coll. perso.). Après la reconstruction dans les années soixante.En 2018 (photo E. B-C)___________

Façade de la maison de Surcouf rue St-Philippe en ruines.
Photo tirée de « St Malo » 46 images de Pierre Lacoudre.
Éditions Pier-Lac 1947.En janvier 2020.

Diverses cartes postales de la porte de Dinan vue depuis le quai de Dinan.
Elle a été crée au moment de la construction des nouveaux remparts
côté Sud entre 1714 et 1719. Elle portera divers noms dont Porte de la Mer,
de la Marine, ou encore Porte de l’Egalité durant la Révolution. A noter les divers graffiti de part et d’autre de la portePhoto anonyme de 1903.

Photo anonyme sur plaque de verre.

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Vue prise depuis l’intérieurFragment d’une photo stéréographique.En décembre 2019.En mai 2020 durant le confinement.___________

De l’extérieur vers l’intérieur, après guerre.
On peut distinguer dans la rue de Dinan, les façades en ruines étayées.Des ouvriers dégageant des blocs de pierre.Dans les années soixante.
Perspective sur la rue de Dinan après les reconstructions. 

En 2017 (photo E. B-C)En 2017.

La rue de Dinan animée prise du haut des remparts.
A noter que l’immeuble de la Caisse d’Epargne
(en haut à gauche) n’est pas encore construit.
Apparition de l’imposant immeuble de la Caisse d’Epargne.La rue pavoisée et animée un jour de fête.Fragment d’un photo stéréo prise lors d’une fête le 24 juillet 1932,
(Coll. perso.). __________

Photo de la rue de Dinan au moment de la Libération de la ville en août 1944
(Coll.perso.)
Vue des reconstructions de l’après-guerre.
Cartes postales des années soixante-dix, quatre-vingt. En 2018 (photo E.B-C).___________

La rue de Dinan dans l’autre sens, prise depuis une fenêtre un jour de fête,
le 9 septembre 1929. Fragment d’un photo stéréo, (coll. perso.).___________

La Place Brevet et son marché aux fleurs devant la Caisse d’Epargne,
photo d’avant guerre, à noter le magasin de Motocycle.

La place Brevet en ruines après la guerre et la rue de Dinan.La rue de Dinan prise depuis la place Brevet en direction de la Porte.
A droite l’ancienne Caisse d’Epargne.

En 2018.La Rue de Dinan en mai 2020 durant le confinement.___________

La Caisse d’Epargne. En 2019.___________

Déambulation dans la rue de Dinan, fragment d’une photo stéréo des années 30.En septembre 2022 (photo E.B-C)

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Boutique à l’angle de la rue de Dinan et de la rue d’Estrées
(avant guerre, plaque de verre, coll. E.B-C)The T pot Salon de Thé.En 2017 avant la fermeture de la librairie (d’après une photo de presse).En janvier 2023 (photo E.B-C).___________

L’Hôtel Restaurant Robert Surcouf
13, rue de Dinan.L’Hôtel de Surcouf et le Grand Restaurant Parisien
(années soixante-dix).L’Hôtel Surcouf a laissé place à La Crêperie « La Brigantine ».
Photo prise en 2019. ___________

De la place Brevet en regardant vers la rue Broussais en ruines.Le haut de la rue de Dinan après déblaiement des ruines.
A noter sur la droite, la carcasse de la halle aux légumes. Immeubles en reconstruction, années cinquante.___________

Devantures d’avant guerre : Mme Morin – Tabac et souvenirs, 2 rue de Dinan.Le restaurant du Môle, 5 rue de Dinan (et non Dinar) « Ti-Bihan » (La petite maison) Art Breton
18, rue de Dinan___________

Le Café des 4 saisons à l’angle des rues de Dinan et de Toulouseet à l’angle de la rue de Dinan et d’Orléans, le « Café de la Bourse » est toujours là malgré les destructions de la guerre (voir plus bas).
Photo prise dans les années vingt-trente.Le Café de la Bourse en 2018.___________

Restes de portail et façade après les bombardements d’août 44, au 4 rue de DinanEn 2018 et 2019 (photos E. B-C)

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Boutique, ancienne Maison Germain Père,
« Articles de Fumeurs, papeterie, parfumerie, maroquinerie », Rue d’Orléans.Après guerre (à droite l’escalier de la Porte de Dinan).En août 2022 (photo, E.B-C)

La Porte St-Thomas prise depuis une fenêtre de l’Hôtel de France et de Chateaubriand. Cette Porte (qui est en fait la troisième portant ce nom), a été construite en 1737 après l’accroissement de la ville et la construction des nouveaux remparts côté Nord.Vue animée de la porte St-Thomas,( ND photo).
A gauche l’escalier d’accès aux remparts,(Coll. perso.). A noter à gauche la pancarte « Gymnase Civil » A noter la boutique de souvenirs dans l’angle à droite, mais elle semble différente d’une autre construction, à ce même emplacement (voir article 68).Carte postale photo (Coll. perso.).

Elle a très peu changée depuis, ici en 2018 (photo E. B-C)

La Porte St-Thomas barricadée pour cause de plages et de remparts interdits.
Par ordre de la Préfecture et du Maire Claude Renoult, en mars et avril 2020 pour cause de Covid-19 (sic!).L’accès aux remparts également condamnéet à la plage de l’éventail, le 5 avril 2020.De nuit en décembre 2021 (phot. E.B-C)La Porte St-Thomas en août 2022 (phot.E.B-C)

L’Hôtel de France et de Chateaubriand avant guerre.

En 2018.______

Années cinquante, la place Vauban se transforme déjà en parking.Les remparts au-dessus de la porte St Thomas.
A noter la présence d’une petite boutique de souvenirs en bas à droite de la porte. A noter à droite les bâtiments du « Gymnase Civil ». Vue sur l’ensemble des bâtiments du Gymnase aujourd’hui disparus.La promenade des remparts, (photo Coll. Perso).Après-guerre, à noter la présence de gravats sur la place Vauban.Années cinquante, la place Vauban se transforme déjà en parking.
A noter en bas à droite le fronton rescapé qui disparaitra ensuite. Photo anonyme.En 2018.______

Ouverture dans le vieux donjon, aujourd’hui comblée.En 1987.En 2019.______

État des remparts après août 1944. Échancrure pratiquée par les allemands pour y installer leurs canons. A noter encore la présence des tétraèdres militaires
sur les plages de l’éventail et du Sillon.Vues actuelles en 2017 et 2018 (photos E. B-C). Les remparts interdits ainsi que les plages, par la préfecture et le maire Claude Renoult
en mars et avril 2020 pour cause de Covid-19.(sic.).______

Les maisons face au Fort à la Reine (anciennement bastion du Cheval Blanc), et le débouché de la rue Mahé de la Bourdonnais, avant guerre ( images empruntées au site http://www.heraudiere.com/stmalo.htm). Rare carte postale de la vue de cette maison, restaurant « Au Fort à la Reine » et de la statue de Chateaubriand, avant sa destruction.Le Fort à La Reine sous l’occupation allemande.
A noter que la statue de Chateaubriand n’a pas encore était fondue par les allemands.______

Après les bombardements d’août 1944. Même angle de vue en 2018.______

La statue de Chateaubriand après avoir été inaugurée en 1875 sur la place
Chateaubriand (voir article 23), a ensuite séjourné sur le bastion le Fort à la Reine
comme le montre cette carte postale publicitaire, avant d’être installée
dans les jardins du Casino (voir article 18).
Ici en regardant vers la tour Bidouane.En regardant vers le Château, carte postée en 1934.En 2017, photo E.B-C.______

Photo stéréo de la rue du Château Gaillard Photo E.B-C, un jour de Grande Marée

Photo de la promenade des remparts jusqu’à la Tour Bidouane. Photo albuminée anonyme (Coll. perso.). Photo prise depuis la terrasse de l’Ecole de la Marine marchande en 2017.En janvier 2019.En approchant de la Tour Bidouane. A noter que la petite échauguette est murée.

En 2019
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Photo anonyme d’avant 1900, vue sur les remparts et la prison (coll. perso.).

Photo d’une tempête en 1903.Grande marée en janvier 2019.______

Vue des remparts depuis le sommet de la Tour Bidouane Lors de la reconstruction, la prison sera remplacée par l’École de la Marine marchande. En 2017 – 2018 et 2019 (photos E. B-C)

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Vue de l’échauguette le cavalier du bastion des Champs Vauvert
(fragment d’une photo stéréoscopique).Photo de particulier prise en août 1955, (Coll. perso.).En décembre 2019 (photo E.B-C).______

La Tour Bidouane vue du chemin de ronde A noter une construction (disparue) en contre-bas, avec une publicité pour une marque d’Absinthe . Autre construction disparue au pied de la Tour. Photo montrant diverses personnes, à noter la présence d’un gardien chargé de faire éteindre les pipes à l’approche de la Tour, celle-ci étant une poudrière. Le fossé à droite servait auparavant au stockage des boulets. A noter également le manque d’ouverture dans la Tour Bidouane. Il sera transformé en voie de circulation, ici dans les années trente.______

Une première porte a été percé et l’accès à l’échauguette ouvert.Dans les années soixante.______

En 2017. On voit bien les portes d’accès aux salles, l’ouverture de l’échauguette, sans compter l’escalier pour se rendre au sommet de la tour (que l’on ne voit pas sur la photo).

Sur les remparts de la Porte des Champs Vauvert à la Porte des Bés, Tour Notre-Dame.En 2019.En sens inverse, lors d’un beau coucher de soleil en 2020.

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La Crêperie du Corps de Garde dans les années 50-60
(carte postale)La même en août 2021

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Dans l’autre sens, en regardant vers la Tour Bidouane.
A noter la lessive qui sèche sur la plage de Bon-Secours. La petite guérite est un ancien Corps-de-Garde, endommagé pendant la guerre,
il n’a pas été reconstruit.Photo anonyme (Coll. perso.)

Ruines après la guerre, photo prise avant d’arriver à la Tour Notre-Dame______

Dans l’autre sens en allant vers la Porte St-Pierre, (coll. perso.).En janvier 2020.______

Le Corps-de-Garde, endommagé lors de la guerre.
Attention cette photo « récupérée » d’un négatif très abimé
peut être sensiblement différente de l’original.
La masse sombre à l’arrière pourrait être un renfort de béton ?Le Corps-de-Garde à disparu lors de la reconstruction. Photo prise 2016 par temps de brouillard devant la crêperie du Corps-de-Garde. La guérite du veilleur a laissé place à une longue vue panoramique.
A noter le drapeau de St Malo flottant au vent. En 2018 (photos E. B-C).En janvier 2019 en s’éloignant vers le bastion de la Hollande.En décembre 2019.

La promenade des remparts un jour de fête, carte postée en 1916. L’historique Photo prise en juillet 1913 (Coll. perso.). Dans les années vingt, trente

Après les bombardements d’août 44, ce qu’il reste des hôtels particuliers
(photo Coll. perso.). Les chantiers de la reconstructionDans les années soixantePhoto de particulier prise en août 1955 (Coll. perso.).

En 2019.

De nuit en septembre 2019.

Vue des remparts Est, première partie jusqu’à la Grande Porte A noter les cheminées dans les rempartsPhoto d’après-guerre montrant une brèche dans le rempart Est.

Après les bombardements d’août 44. Photo sur une plaque de verre.
Ouest-Photo, cliché Béroulle.Photos (Coll. perso.).Carte postale dans les années soixante-dix.En 2018 (photo E. B-C)En septembre 2019.