L’entrée de la rue de la Paroisse depuis le Pilori.La rue de la Paroisse animée.

L’ancienne Poste à gauche et le porche de la Cathédrale à droite.En ruines après les bombardements d’août 44.CP photo anonyme (Coll. perso.). Ruines des maisons près de la Cathédrale Déblaiement des gravats, Ouest-photo, (Coll. perso.). Reconstruction de la rue de la Paroisse qui deviendra rue du PourprisEn 2018 (photos E. B-C) ____________

La rue de la Paroisse  en regardant vers la rue Broussais. Maisons faisant face à la Cathédrale, dont l’ancienne Poste. Carte postale montrant les deux côtés de la rue de la Paroisse.Le déblaiement des ruines après la guerre, Ouest-photo, cliché Béroulle (Coll.perso.). Lors de la reconstruction, la place dégagée devant la Cathédrale prendra le nom de Jean de Chatillon et la rue de la Paroisse celle de rue du Pourpris.  En décembre 2019. (photo E.B-C).

 Le rue de la Vieille Boucherie un jour de marché En allant vers la rue Porcon et la Cathédrale La rue en ruines après les destructions de la guerre,
au fond, ce qu’il reste du clocher de la CathédraleAprès le déblaiement des ruines.En 2018 (photo E. B-C). ______

La rue de la Vieille Boucherie, photo prise depuis la Place du Pilori.
Ouest-photo (Coll. perso.).
En décembre 2019.______

La rue de la Vieille Boucherie et la rue Broussais en ruines. La carcasse de la Halle du marché aux légumes au premier plan et la Cathédrale au dernier, après le déblaiement des maisons non retenues pour la reconstruction. Façade sur la rue des Grands Degrés, après les bombardements d’août 44.
Au premier plan la rue de l’Orme avec un restant de mur crénelé. La façade étayée après-guerre. En 2018 (photo E.B-C).
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Photo de la rue Broussais en ruines, en direction de la rue de Dinan.
A noter dans le fond de la photo l’enseigne de la pharmacie
Lenormand à l’ange du Marché aux légumes
(voir article 51),
(Coll. perso.).Après les reconstructions, années soixante.En décembre 2019.Milieu de la rue Broussais en mai 2020 durant le confinement.

La rue Thévenard faisait partie avant-guerre du quartier rouge de la ville,
et certains établissements étaient très accueillants pour les marins esseulés,
à l’exemple de la carte gaufrée de Mme Albertine sise au n° 26,
qui pratiquait aussi la langue de Shakespeare.
(Image web).
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La rue Thévenard des années soixante-dix, jusqu’à nos jours.En 2019.De nuit en décembre 2021.______

Dans l’autre sens. A noter sur les arcades de la rue et dans le péristyle (aux n° 1 et 3 de la rue),
les sculptures de faïences marines et de Saint Malo réalisées par André Bizette-Lindet.En janvier 2019 (photos E. B-C).

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Le Groupe Scolaire du Grand Bé, un des premiers bâtiments à
être reconstruit après-guerre. Photo prise depuis la place Brevet. La cour de l’École. En décembre 2019.______

Le Groupe scolaire vue d’avion après sa construction. A noter à l’arrière, la rue de la Pie qui boit, la rue Thévenard, et la place du Grand Placitre en chantiers.A la fin des années soixante, (la flèche de la cathédrale n’est pas encore reconstruite).

La Chapelle St-Aaron face à l’ancien Palais de Justice.

Carte postale des années soixante-dix.En janvier 2019, photo E.B-C. ______

Vue aérienne sur les deux réservoirs d’eau de la ville avant-guerre,
situés entre la rue de la Victoire et la rue Benoît.Photos particulières sous divers angles après-guerre.
Ils survivront aux bombardements, mais seront ensuite
détruits au moment de la reconstruction de la ville.
Au premier plan les ruines de la Chapelle de l’ancienne abbaye Saint-Benoît,
puis de la Manufacture de Tabacs qui deviendra après-guerre le Palais de Justice.La Place Josseaume en décembre 2019, endroit où étaient situés les réservoirs d’eau.
Au fond l’École Nationale de la Marine Marchande avec un portail anachronique,qui est en fait le vestige datant de 1710, du premier Hôtel de l’armateur Julien Bourdas.
Il servira ensuite de portail à l’ancienne prison, puis d’accès à l’École de la Marine,
au n° 2 rue de la Victoire, photo de décembre 2019.______

Portail d’entrée de la Manufacture de Tabacs, rue St-Benoît,
qui sera remplacée après-guerre par le Palais de Justice.En décembre 2019.

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L’Ancien Cloître des Bénédictines de Notre-Dame de la Victoire après-guerre.

Inclus dans le site de l’École de la Marine Marchande après la reconstruction.
Ici en décembre  2019 (photos E.B-C).Ancienne porte d’accès. Beau point de vue sur la baie. Vue sur la rue Mahé de la Bourdonnais et la poterne menant au Fort à la Reine (à droite).

Photo albuminée de la Cathédrale.

Photo anonyme tirée d’un album, (Coll. perso.). Photo de particuliers prise en août 1935, (coll. perso.).

La Cathédrale mutilée après les bombardements d’août 44. Déblaiements des gravats et rangement des pierres. Carte postale de 1971, la Cathédrale retrouve sa flèche. Années quatre-vingt.En 2019 (photo E. B-C). ______

Photo de l’ancien clocher prise en 1859 à l’occasion
de la préparation des futurs travaux pour la nouvelle flèche.
(Musée d’Histoire de St-Malo)Vue côté façade de la Cathédrale, avec une horloge sur le toit.Le clocher et sa flèche néo-gothique.  Le clocher illuminé de nuit, édition de « La Palette bretonne ».Le flèche décapitée par les allemands en août 1944.
Photo tirée de « St Malo » 46 images de Pierre Lacoudre.
Éditions Pier-Lac 1947. Déblaiement des ruines des maisons et de la Cathédrale
après les bombardements d’août 44 (photo Coll. perso.).Photo Coll. perso.

Le Clocher vu de l’intérieur.Le Clocher vu à travers les ruines.
Photo tirée de « St Malo » 46 images de Pierre Lacoudre.
Ed. Pier-Lac 1947.
Consolidation du clocher. Photo anonyme, couverture de la nef, (Coll. perso.).Photo anonyme prise en septembre 1949, (Coll. perso.).Le nouveau clocher de la Cathédrale
Photo des années soixante-dix.En 2018 et 2019 (photos E. B-C).

La place de l’Hôtel-de-Ville Apparition d’une statue de Duguay-Trouin

La statue endommagée lors des bombardements d’août 1944.
Elle se trouve actuellement au Musée de la Ville, à ne pas
confondre celle dans la cour du château qui est différente et
qui sera offerte à l’Ecole Navale de Brest.

Il ne reste rien de l’Hôtel-de-Ville sinon les façades nues après les bombardements

L’Hôtel-de-Ville s’étant installé dans la cour du château après guerre, des immeubles modernes d’habitations le remplaceront lors de la reconstruction de la ville

En 2019

Photo de la place devant la Sous-Préfecture,
au fond la Cathédrale.Photo Archives Gallica BNF.

Photo coll. perso.

Après les bombardements d’août 1944.

Début de la reconstruction des nouveaux bâtiments. En 2018 (photo E. B-C)______

Photo albuminée, la Sous-Préfecture vue de face. Au premier plan la statue de Duguay-Trouin. Puis le monument aux morts ( de la première guerre mondiale).Le nouveau bâtiment en construction après guerre.La Sous-Préfecture sur le point d’être terminée.Terminée.Le bâtiment public avant sa vente au privé.Début des travaux pour le transformer en hôtel de luxe en 2016 (photo E. B-C). En 2018 en pleine poursuite de la gentrification de la ville (photo E. B-C).

Le Pensionnat Notre-Dame, qui avait pignon sur la place Duguay-Trouin,
vu ici depuis les remparts.Vue aérienne de la Place des Frères Lamennais (ex Place Duguay-Trouin) avant-guerre.Lors de la reconstruction de la ville.En décembre 2019, on aperçoit à peine la flèche de la Cathédrale.La cour de récréation du Pensionnat.En décembre 2019.

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La façade du Pensionnat sur la Place Duguay-Trouin.  En-tête d’une facture de Vin & Spiritueux F. Mathonnet,
Place de la Sous-Préfecture en 1907 (Coll. perso.).La Sous-Préfecture et le pensionnat Notre-Dame (à gauche) en ruines après guerre.

En décembre 2019.______

Le bâtiment de la Poste et le monument aux morts de la première guerre mondiale. Dans les années trente. En 2018, la statue de Duguay-Trouin et à sa suite le Monument aux morts ont disparus depuis longtemps, à la place il y a un jardin d’enfants, mais beaucoup moins d’arbres et la Poste n’en est plus une.______

Quant à la statue du corsaire René Duguay-Trouin, elle était installée
sur cette place bien avant, depuis le 16 février 1829.
Ici une photo de Gilbert Ainé peintre photographe à St-Servan (coll. perso.)

Elle sera déplacée en juin 1923 devant la Mairie.
pour laisser place au Monument aux morts.Elle est actuellement au Musée historique de la ville.Le Monument aux morts à la place de la statue de Duguay-Trouin Le Monument aux morts dans les années soixante
avant qu’il ne déménage à son tour.

En 2018 (photo E. B-C)______

L’Hôtel-Brasserie Armoricaine dans les années trente En 2018, photo E. B-C)______

Le Café « Au Soleil levant » et la Poste vers 1970.En septembre 2019.
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Immeuble en construction sur la rue Gouin de Beauchesne, vue depuis la Place.En décembre 2019.

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Immeuble place des Frères Lamennais en construction dans les années cinquante. En 2019.

La place aux Herbes après les bombardements d’août 1944. En 2018 (photo E. B-C).

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La Halle aux légumes avec une charpente en bois,
construite en 1821 (d’après une gravure de Gabriel Robuchon).Cette même Halle en bois peinte par Léon-Augustin L’Hermitte,
avant qu’elle ne soit remplacée par une charpente métallique en 1901. La Halle aux légumes vers 1893.Photo sur une plaque de verre positive (d’origine anglaise) représentant la vieille halle en bois devant la pharmacie Fontaine de 1ère classe, qui fait angle avec la rue de Dinan.
(Coll. perso.).______

Le Marché au légumes après 1901, avec sa Halle en fer.
Il était alors orienté Est-Ouest.
La rue étroite qui remonte vers la cathédrale
n’est autre que la rue Broussais.
En remontant la rue Broussais vers le Pilori. Enseigne: Imprimerie Malouine P. Chenu.
« Homme sandwich », faisant de la réclame pour  le « Cristal Palace » (Le Palais de Cristal) magasin de porcelaine à l’angle de la rue de la Fosse et de la place du marché.
Dans le ciel on distingue faiblement la flèche de la Cathédrale.
Petite photo anonyme (Coll.perso.).

Fragment d’une photo sétéro prise le 15 septembre 1929,
vraisemblablement prise rue Broussais en allant vers le Pilori. (Coll.perso.).Après la guerre, sans doute de Ouest-Photo.Si l’on ne voit plus la flèche de la Cathédrale c’est que la rue Broussais a
été redressée et élargie lors de la reconstruction,
(Photo E.B-C en 2019).______

Factures du magasin de porcelaine et verrerie « au Palais de Cristal » à l’angle de la Place du Marché et de la rue de la Fosse, de Georges Toutain en 1900 et 1902.
A noter le changement d’aspect de la Halle aux légumes d’abord en bois,
puis en fer à partir de 1901 (Doc. Coll. perso.).

Carte du même magasin, mais « H. Gervais » semble en être maintenant le propriétaire.
(Coll. du Musée de Bretagne, Rennes).______

Carte postale du Marché aux légumes avec sa Halle en fer.______

A noter le magasin Félix Potin à gauche (côté sud du Marché).
Photo albuminée, Collections du Musée de Bretagne, Rennes.
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Le Magasin Félix Potin, carte postale photo, vers 1911 (coll. perso.).
Photo prise côté Sud du Marché.
On peut apercevoir à gauche un coin de la halle aux légumes.

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Le Marché aux légumes dans les années 30 d’après une carte postale
photo anglaise. Côté Nord vers la rue de la Fosse.
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La halle et les maisons en ruines après leurs destructions par les bombardements d’août 1944. En haut à droite l’enseigne de la pharmacie Lenormand.

Déblaiement des ruines, à noter à gauche le début de la rue de l’Orme._____

A gauche, la carcasse de la halle aux légumes et dans le fond l’Hôtel Désilles en ruines.__________

Début de la reconstruction des bâtiments (côté Ouest) de la Place aux légumes.
A premier plan les ruines de l’Hôtel Désilles.______

Le nouveau Marché aux légumes reconstruit en 1949, mais orienté Nord-Sud.
(photo Musée de Bretagne).

Cartes postales du Marché aux légumes

dans les années soixante. Puis après sa démolition dans les années quatre-vingt-dix. En 2018 un jour sans soleil (photo E. B-C).

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Ruines de l’Hôtel Désilles après les destructions de la guerre.

L’ancienne bibliothèque d’Intra-muros en 2018 (photo E. B-C).______

Devanture du restaurant au Faison Doré, rue de l’Orme.aujourd’hui  le Restaurant « L’Absinthe ».______

L’Hôtel du Louvre avant-guerre, alors au 9 rue Boursaint.Facture à en-tête de l’Hôtel du Louvre en 1898.
Beaucour & Duclos propriétaires (Coll. perso.).__________

Dans les années soixante, à la suite des reconstructions l’hôtel se retrouve à l’angle de la rue du Puits aux Braies et de la rue des Marins, au centre l’enseigne de Dan Lailler. En 2018 (photos E. B-C).L’Hôtel du Louvre après rénovation est devenu l’Hôtel des Marins en 2019.

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Hôtel de la Marine, au 7 rue des Marins.Carte de l’Hôtel de la Marine
Mme A. Robin propriétaire