Reproduction d’une gravure ancienne vers 1850 de l’arrivée sur St-Malo
depuis le Sillon, alors seul accès carrossable à la ville. A noter le navire qui se trouve à l’emplacement actuel du Casino et le télégraphe sur l’ancien clocher de la Cathédrale. (Coll. perso.)A noter l’étroitesse du Sillon et la menace des vagues les jours de grandes-marées comme ça semble être le cas sur cette image.Fragment d’un photo stéréo « Voyage en Bretagne » de Furne et Tournier en 1857.Gravure représentant l’arrivée sur Saint-Malo. Seul est présent comme la précédente image, le bâtiment des Bains-Chauds, dessin d’après nature par Deroy.
A noter le nouveau clocher de la Cathédrale.
(Collections du Musée de Bretagne, Rennes). Gravure, avec le blason de la ville, présence du premier Casino.
(Coll. du Musée de Bretagne, Rennes). Gravure, vue sur l’arrière du Casino d’après un album (coll. peso.).En face les bâtiments des Bains-Chauds, à gauche, derrière le stockage de bois,
l’ancien Casino. Photo Léon Rosse vers 1870-80 (Coll. perso.).Photo albuminée, du photographe Ordinaire de Dinan.
Photo albuminée, (Coll. Musée de Bretagne, Rennes).Le bâtiment des Bains-chauds (ayant fait office de premier Casino). Voir également l’article 125 concernant le Sillon.Lors de grandes marées.Dans les années trente (le bâtiment des Bains-Chauds a disparu).Après les bombardements de la ville (août 1944).
A noter la construction allemande à moitié pulvérisé sur la galère et l’échauguette détruite.Au moment du déblaiement des ruines.
Voir les tas de pierres de chaque côté de la route et au fond à gauche
l’état de la ville et du donjon (photographe anonyme).Le Donjon semble terminé, mais la reconstruction du Casino n’a pas encore débutée.
A noter sur le trottoir de gauche une borne « Voie de la Liberté » aujourd’hui disparue. Les immeubles sont encore en travaux.Carte postée en 1951, alors que la ville est en train d’être reconstruite.Par « Gros Temps ». A noter le varech projeté sur la chaussée du Sillon (postée en 1956).D’après une diapositive des années 50. Cartes postales des années soixante, à marée basseet à marée haute (au même instant, sic!) ou quand les éditeurs de cartes n’hésitent pas à recourir au photo-montage pour satisfaire tous les goûts.En 2019.En avril 2020 durant le confinement
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Le parking du château assiégé par les vagues, années cinquanteSituation similaire en 2016 (photo E. B-C)